Normalement, vous auriez dû voir ci-dessous une histoire complète de Baragrine. Quatre petites pages, ou deux grandes, selon votre mode de décompte. Youhou! s’enthousiasment les trois ou quatre fans cacochymes et égrotants qui savent encore de quoi je parle. Ça m’a pris comme ça, subitement, une idée de gag, et l’envie de le dessiner pour le poster, ranimer ce blog, adresser mes vœux de Noël, bref, régler d’un seul coup plein de choses pendantes.

Seulement, dessiner, ça ne se fait pas tout seul. Je n’étais pas loin de la ligne d’arrivée, mais diverses tâches ingrates et subalternes sont intervenues pour me faire des croc-en-jambes à la plume. Les quatre pour Noël, c’était clair, je n’y arriverais pas. Et donc, il a fallu affronter la situation d’un regard lucide, et décider d’une solution. Dans l’état d’avancement des travaux, et compte tenu que je n’ai pas quatre bras, j’ai dû réviser mes objectifs.

Donc, j’ai fait vite. Le dessin est un brin bâclé, l’encrage (sur un papier de @#%€) est pas loin d’être une horreur. Tant pis, c’est l’intention qui compte.

Donc, en second lieu, voici le premier épisode d’un gag un brin hystérique de Baragrine qui sera conclu au premier de l’An. Merveille des fêtes à intervalle commode. Certes, sa thématique sera dès lors quelque peu obsolète, mais je vous zute; vous n’êtes jamais contents, de toute façon.

La prochaine fois, j’achèterai une carte postale du Pont de pierre et j’écrirai Joyeux Noël et bonne année au feutre dessus. C’est tout ce que vous méritez. Sales petits ingrats.

Et bon Noël quand même.

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